Appelez-moi Matt

Bonjour à tous! Tenez-vous bien, on est là!

Tu as intérêt à te tenir, petit démon!

Voili voilà




Nom et prénom : Matthew Nielsen, dit Matt

Date de naissance : selon maman, on aurait dû naître le 1^er avril… mais je suis né le 21 mars 1999

Histoire de votre personnage :

Je ne suis pas très doué pour les longs discours. Je suis le jumeau de Nick, fils d’Opal McLane et d’Erik Nielsen. Ce mélange Australo- suédois est étonnant, non ? Selon eux, nous sommes des bombes à retardement, même si nous sommes légèrement préma. 
On vit en majorité en Australie où maman tient un resto très chic pour le bled. Papa est toubib à l’occasion, avocat aussi. J’ai des cousins et cousines, les De Brent avec lesquels on fait souvent les 400 coups. Nos dons se sont révélés assez tôt, trop selon maman qui a dû accepter les elfes cadeaux de papa. On leur en fait voir de toutes les couleurs ? Possible, oui. Turbulents n’est pas exact. J’avoue souvent copier Nick… à moins que ce ne soit l’inverse.
Des blagues, on en invente à tout bout de champ, mais c’est jamais bien méchant, enfin je ne crois pas. Oui, à 6 ans, on a piqué une baguette et tous les moutons de grand-père McLane sont devenus noirs, et alors ? Une fois, maman nous a demandé de l’aider aux cuisines. Grossières erreurs selon papa… inverser le sel et le poivre c’est si grave que ça ? Nous on a bien ri de la tête des clients… beaucoup moins de celle de maman.  
 On adore nos cousins De Brent, les autres aussi, notez. Je suis content de ma vie actuelle surtout depuis que l’on a la reine des pestes parmi nous. Cette Caroline, chérie ! Fallait voir qu’à peine au berceau, la façon dont elle mettait la pagaille. Elle détestait les vêtements et s’arrangeait toujours pour les ôter au grand dam de l’entourage. Cette manie s’est calmée, ouf. D’autres ont remplacés. Nous qui pensions avoir le sujet idéal pour tester nos préparations fantaisistes, on a raté nos coups : elle se défend bien, la bougresse. Elle est tout l’opposé de ce que maman attendait… avec trois délurés sous son toit, il va sans dire qu’elle a bondi de joie, maman, quand nos lettres d’admission à Poudlard sont arrivées.  On s’est marrés comme des fous au chemin de Traverse où il fallait bien acheter des trucs pour la rentrée. Par veine – ou déveine – selon le côté où l’on se place, nos cousins faisaient leurs achats aussi. L’essayage des robes et des baguettes, je vous dis pas ! Nick racontera à ma place. Mais on a vite déserté chaudronnerie et librairie pour filer chez les Weasley. Wow ! On a dévalisé la boutique de farces, de quoi… nous faire coller méchamment à peine la répartition achevée au collège. On n’a pas reçu de beuglante pour autant, seulement une lettre ravie de maman – pas pour la colle – mais parce qu’on nous a envoyés tous les deux dans sa maison : celle des Poufs. Les autres maisons ont été… soulagées ? Nous, on s’en fout. On a plein de copains et d’admirateurs. Des admiratrices aussi mais on s’en balance un peu.  On a fait un pacte avec Nick, le premier de nous deux qui tombe amoureux aura du poil à gratter dans son lit jusqu’à ce que ça lui passe.  
À part, ça on est champions des punitions mais tant qu’on rit, on rit.  On travaille aussi un peu quand même, juste ce qu’il faut pour pas faire pleurer pa et ma.  
Cette année risque d’être assez terrible puisque les potes Davenport vont débarquer. Ouais, c’est Vicky qui va être contente ! D’autant que son chouchou de Kieran vient aussi.            Risque d’être l’enfer…  


Caractère :
Il vous faut un dessin ? Je suis déluré, blagueur, rarement sérieux mais j’ai, comme tout le monde – des passages à vide que comble heureusement mon Nick. Parfois, on dit qu’il nous manque une case, que l’on n’arrivera jamais à rien si le plomb ne rentre pas dans nos caboches. Je vous assure qu’on se trompe sur toute la ligne à notre sujet. On sait où l’on veut aller ! Oui, on sait papa, la vie n’est pas que rigolade perpétuelle, que toi et maman en avez bavé, etc. Si la vie d’adulte est si moche, nous on espère bien l’éclairer au moins un peu.  
J’ajouterai que je suis peut-être – je me sens comme ça, quoi – plus sensible à la raillerie que Nick. Lui, il encaisse tout sans broncher tandis que moi, je fais semblant que cela m’indiffère. Je trouve en général une pirouette hilarante à jeter avant de filer respirer dans un coin pour me calmer.  
Ce qui est certain est que je ne veux jamais de mal à qui que ce soit. S’il m’arrive de blesser quelqu’un, je suis tout… paf, perdu. Je sais que tout n’est pas risible, et je connais les limites à ne pas franchir. Vous voyez Pa et ma, tout espoir n’est pas perdu !
 
Désignation de votre avatar : Cole Sprouse à moins que ce soit Dylan…

Salut Filleul! Validé, bien sûr!

C'est bien toi, ça! Essaye de te tenir un peu plus sagement, même si je sais que c'est quasi impossible. Je t'aime, mon petit!

Je me joins à mon Opaline. Tous mes voeux, fiston!