Modèle à suivre
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Modèle à suivre
Nom et prénom de votre personnage:
Date et lieu de naissance:
Sorcier?
Histoire de votre perso:
Caractère:
Désignation de votre avatar :
Postez à la suite avec en titre vos Noms et prénoms, merci :
Date et lieu de naissance:
Sorcier?
Histoire de votre perso:
Caractère:
Désignation de votre avatar :
Postez à la suite avec en titre vos Noms et prénoms, merci :
Re: Modèle à suivre
Nom et Prénom : Davenport Justin
Date et lieu de naissance : 13 Juillet 1964 Londres
Sorcier : oui
Histoire : Je suis né avec, selon une expression populaire, une cuillère en argent dans le… enfin vous comprenez. En fait elle était plutôt en or… Je n’y peux rien si mon père était un Lord, moi ! Bref, je n’ai jamais manqué de rien. Je fus un enfant banal et très respectueux des règles imposées jusqu’au jour où, oh surprise, un des autres garçons de l’école guindée subie insulta ouvertement ma mère. Pour la première fois de ma vie, j’ai pété un câble. Sauf que je n’ai pas pigé la façon dont je m’y étais pris pour faire tomber une pile de bouquins sur la tête de l’outrancier personnage. Je n’avais strictement rien touché de mes mains ! Ce jour-là j’appris trois choses, une à laquelle fallait s’attendre : j’étais renvoyé de l’école. Mais le reste dépassa mon entendement. Mis au courant de mes actes, Patrick Davenport tint à avoir un aparté avec moi. Maman, la douce Ellen Beckett, y assistait ce qui me rassura à moitié.
Fils, déclara le paternel, nous redoutions ce moment depuis ta naissance.
Vu son timbre de voix, ce qui allait suivre était grave. Je déglutis :
Je… J’ai rien fait. Il a dit des choses affreuses qui souillaient mère et j’ai…
Quoi Justin ? Tu as fait quoi ?
Juste voulu lui rendre la monnaie de sa pièce et les livres sont tombés. Tout seul, je le jure !
Pas tout seul, mon fils, avait dit maman. Tu as sans le vouloir, sans le savoir, utilisé la magie.
La… magie ?
Ainsi j’étais sorcier et ma mère en était la cause.
Il fut convenu que j’irais suivre un apprentissage au collège de Poudlard. D’ailleurs un hibou m’apporta ma lettre d’amission le jour de mon 11ème anniversaire.
J’étais à la fois curieux et anxieux en pénétrant dans le train rouge d’un autre âge. Maman avait eu plusieurs mois pour me préparer à l’événement. Je dois avouer que recevoir les fournitures scolaires m’avait fait paniquer. Avec sa tendresse naturelle, Ellen m’expliqua plusieurs trucs qui devaient me prémunir contre les mauvaises surprises.
Dans le train, Je fis la connaissance des chocogrenouilles mais aussi celle de celui qui allait devenir mon meilleur ami pour la vie : Michael De Brent. N’étant que sorcier de fraîche date, je n’avais aucune prévention sur les différentes catégories, valeur du sang etc. Il en allait autrement pour Michael. Son nom de famille semblait en faire une sorte de paria aux yeux de certains, une sorte d’idole pour d’autres. Avec mon air benêt, je ne tardai pas à me faire charrier par une bande ne rêvant que d’entrer chez les Serpentard tandis que Michael se faisait quasi cracher dessus par ceux voulant être Griffondor. Aucun de nous deux ne voulait la bagarre. On régla le sort de nos tourmenteurs par des… sorts mineurs qu’ils ne surent parer et nous réfugiâmes dans un compartiment isolé. On en rit beaucoup puis discuta mêmement.
À la répartition, le choixpeau m’expédia direct chez Serdaigle, Michael à Serpentard.
Rien ne gâcha jamais le lien noué dans le Poudlard Express. Nous étions doués tous les deux, notre existence de collégiens connut bien des soubresauts, mais bah. On se sauvait mutuellement la mise, et tout baignait. Oui, je me suis déluré au contact de Michael ; je ne regrette quasi rien. Il avait son chic pour se fourrer dans les emmerdements, provoquer gens et événements. Il me fit goûter aux joies des interdits. Je pense quand même lui avoir aussi montré la voie du bon droit.
Nos diplômes en poche, nous avions le projet de voyager ensemble. Cela n’arriva pas. Une limousine aussi noire que le deuil vint me cueillir à la descente du train : mes parents étaient morts dans un accident d’avion. Ma vie bascula.
Je dus apprendre les arcanes de la finance sur le tas. Bien que rentier, nom père n’avait jamais cessé de travailler. Reprendre ses banques et avoirs ne fut pas une mince affaire. Comme aventures, j’avais rêvé mieux. Je n’ai pas trop eu le temps de me pencher sur les questions sorcières, sauf quand Michael débarqua chez moi un soir dans un triste état mais vais pas vous bassiner avec ça… ce sera pour plus tard.
Peut-être vous posez-vous des questions sur ma vie amoureuse ? Eh bien que des fiascos. Pas que je sois coureur, loin de là. Seulement la majorité des femmes rencontrées n’en voulait qu’à mon fric. Désolé, je ne mange pas de ce pain-là. Les femmes me déçoivent puis, de toute façon, suis trop occupé pour y penser, même si parfois je souhaiterais que l’on se soucie de moi, créer une famille... Ce sera dur. Je mène une double-vie car, après des années plongé dans la finance, il m’a fallu retomber dans le monde sorcier. Des faits étranges se sont produits entre Voldemort et un gamin nommé Harry Potter. Je suis maintenant Auror, chargé de traquer les Mangemorts. Je suis sans nouvelles de Michael depuis des années. J’espère qu’il a su contrer son « héritage » particulier.
Là, je vis seul entouré de domestiques payés grassement. Plein de faux amis me tournent autour, s’ils savaient…
Caractère : Je suis un doux de nature. J’aime la justice par-dessus tout. La fête, je sais la faire même si les occasions sont rares avec mes deux boulots. Je suis très strict quant au choix de mes relations : n’est pas mon ami qui veut. Je sais me montrer un peu salaud à l’occasion surtout quand on me marche sur les pieds, chose hautement détestable. J’use de la magie lorsqu’il le faut, jamais plus. J’ai des goûts de luxe, c’est vrai et crains souvent de perdre mes biens personnels assis durement. Suis adroit en de nombreux domaines mais n’en fait pas un étalage éhonté sans être modeste pour autant.
Célébrité de l’avatar : Michael Weatherly
Date et lieu de naissance : 13 Juillet 1964 Londres
Sorcier : oui
Histoire : Je suis né avec, selon une expression populaire, une cuillère en argent dans le… enfin vous comprenez. En fait elle était plutôt en or… Je n’y peux rien si mon père était un Lord, moi ! Bref, je n’ai jamais manqué de rien. Je fus un enfant banal et très respectueux des règles imposées jusqu’au jour où, oh surprise, un des autres garçons de l’école guindée subie insulta ouvertement ma mère. Pour la première fois de ma vie, j’ai pété un câble. Sauf que je n’ai pas pigé la façon dont je m’y étais pris pour faire tomber une pile de bouquins sur la tête de l’outrancier personnage. Je n’avais strictement rien touché de mes mains ! Ce jour-là j’appris trois choses, une à laquelle fallait s’attendre : j’étais renvoyé de l’école. Mais le reste dépassa mon entendement. Mis au courant de mes actes, Patrick Davenport tint à avoir un aparté avec moi. Maman, la douce Ellen Beckett, y assistait ce qui me rassura à moitié.
Fils, déclara le paternel, nous redoutions ce moment depuis ta naissance.
Vu son timbre de voix, ce qui allait suivre était grave. Je déglutis :
Je… J’ai rien fait. Il a dit des choses affreuses qui souillaient mère et j’ai…
Quoi Justin ? Tu as fait quoi ?
Juste voulu lui rendre la monnaie de sa pièce et les livres sont tombés. Tout seul, je le jure !
Pas tout seul, mon fils, avait dit maman. Tu as sans le vouloir, sans le savoir, utilisé la magie.
La… magie ?
Ainsi j’étais sorcier et ma mère en était la cause.
Il fut convenu que j’irais suivre un apprentissage au collège de Poudlard. D’ailleurs un hibou m’apporta ma lettre d’amission le jour de mon 11ème anniversaire.
J’étais à la fois curieux et anxieux en pénétrant dans le train rouge d’un autre âge. Maman avait eu plusieurs mois pour me préparer à l’événement. Je dois avouer que recevoir les fournitures scolaires m’avait fait paniquer. Avec sa tendresse naturelle, Ellen m’expliqua plusieurs trucs qui devaient me prémunir contre les mauvaises surprises.
Dans le train, Je fis la connaissance des chocogrenouilles mais aussi celle de celui qui allait devenir mon meilleur ami pour la vie : Michael De Brent. N’étant que sorcier de fraîche date, je n’avais aucune prévention sur les différentes catégories, valeur du sang etc. Il en allait autrement pour Michael. Son nom de famille semblait en faire une sorte de paria aux yeux de certains, une sorte d’idole pour d’autres. Avec mon air benêt, je ne tardai pas à me faire charrier par une bande ne rêvant que d’entrer chez les Serpentard tandis que Michael se faisait quasi cracher dessus par ceux voulant être Griffondor. Aucun de nous deux ne voulait la bagarre. On régla le sort de nos tourmenteurs par des… sorts mineurs qu’ils ne surent parer et nous réfugiâmes dans un compartiment isolé. On en rit beaucoup puis discuta mêmement.
À la répartition, le choixpeau m’expédia direct chez Serdaigle, Michael à Serpentard.
Rien ne gâcha jamais le lien noué dans le Poudlard Express. Nous étions doués tous les deux, notre existence de collégiens connut bien des soubresauts, mais bah. On se sauvait mutuellement la mise, et tout baignait. Oui, je me suis déluré au contact de Michael ; je ne regrette quasi rien. Il avait son chic pour se fourrer dans les emmerdements, provoquer gens et événements. Il me fit goûter aux joies des interdits. Je pense quand même lui avoir aussi montré la voie du bon droit.
Nos diplômes en poche, nous avions le projet de voyager ensemble. Cela n’arriva pas. Une limousine aussi noire que le deuil vint me cueillir à la descente du train : mes parents étaient morts dans un accident d’avion. Ma vie bascula.
Je dus apprendre les arcanes de la finance sur le tas. Bien que rentier, nom père n’avait jamais cessé de travailler. Reprendre ses banques et avoirs ne fut pas une mince affaire. Comme aventures, j’avais rêvé mieux. Je n’ai pas trop eu le temps de me pencher sur les questions sorcières, sauf quand Michael débarqua chez moi un soir dans un triste état mais vais pas vous bassiner avec ça… ce sera pour plus tard.
Peut-être vous posez-vous des questions sur ma vie amoureuse ? Eh bien que des fiascos. Pas que je sois coureur, loin de là. Seulement la majorité des femmes rencontrées n’en voulait qu’à mon fric. Désolé, je ne mange pas de ce pain-là. Les femmes me déçoivent puis, de toute façon, suis trop occupé pour y penser, même si parfois je souhaiterais que l’on se soucie de moi, créer une famille... Ce sera dur. Je mène une double-vie car, après des années plongé dans la finance, il m’a fallu retomber dans le monde sorcier. Des faits étranges se sont produits entre Voldemort et un gamin nommé Harry Potter. Je suis maintenant Auror, chargé de traquer les Mangemorts. Je suis sans nouvelles de Michael depuis des années. J’espère qu’il a su contrer son « héritage » particulier.
Là, je vis seul entouré de domestiques payés grassement. Plein de faux amis me tournent autour, s’ils savaient…
Caractère : Je suis un doux de nature. J’aime la justice par-dessus tout. La fête, je sais la faire même si les occasions sont rares avec mes deux boulots. Je suis très strict quant au choix de mes relations : n’est pas mon ami qui veut. Je sais me montrer un peu salaud à l’occasion surtout quand on me marche sur les pieds, chose hautement détestable. J’use de la magie lorsqu’il le faut, jamais plus. J’ai des goûts de luxe, c’est vrai et crains souvent de perdre mes biens personnels assis durement. Suis adroit en de nombreux domaines mais n’en fait pas un étalage éhonté sans être modeste pour autant.
Célébrité de l’avatar : Michael Weatherly
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