Fiche de Max
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Fiche de Max
par Max Von Falkenberg Dim Sep 15 2013, 19:02
Nom et prénom de votre personnage: Von Falkenberg -Stillworth Maximilian Benedikt.
Date et lieu de naissance: 27 Aout 1964 Munich, Allemagne
Sorcier? Ouais
Histoire de votre perso:
J’ai toujours pensé que mon histoire était d’une banalité navrante. Il parait que pas trop, finalement. Suis le cadet. Trois sœurs m’ayant précédé, le résultat était prévisible. Si elles étaient ravies d’avoir un mioche pour jouer à la maman, moi j’étais déjà dégoûté d’avance. Maman y mettant aussi du sien, j’ai été le gosse le plus câliné, chouchouté et surprotégé dont on ait mémoire. Terrible. Mon père, prince érudit, laissait les femmes de la maison s’occuper de moi, avec un sourire compatissant, mais au fond ravi de ne pas avoir à se mêler à l’éducation d’un enfant qu’il ne s’était plus attendu à avoir.
Personne ne s’est dérangé de me demander ce que je pensais de tout ça. Ils auraient été assez ahuris de savoir que depuis mon plus jeune âge je n’avais qu’une idée en tête : filer ! Je me suis arrangé pour arriver à mes fins à plusieurs reprises, avec la malchance d’être pincé à tous les coups.
Suivant l’ordre établi, je fus envoyé à l’école. Pas n’importe laquelle : Poudlard. Ma famille supposait que fréquenter d’autres petits sorciers remettrait les choses en ordre et que j’accepterais gentiment d’être ce que j’étais. On m’envoya tout de go chez les Serpentards que je méprisai dès le premier jour. Je ne voulais qu’être un moldu, avais des idées démocratiques poussées et bien sûr, ce n’était pas pour plaire.
Faute de pouvoir faire mieux, je vécus ma scolarité avec l’entrain d’un forçat condamné au bagne, rêvant d’évasion. Ce que je fis à plusieurs reprises dans l’espoir de dégoûter tout le monde et me faire renvoyer. On se contenta de me punir, me coller des retenues et des sermons.
L’idée finit par prendre et puisque je ne pouvais pas l’éviter, je consacrai part de mon énergie aux études et à partir de ma 5ème année, aux filles. Je n’ai jamais eu d’amis entre mes camarades. Ils me méprisaient autant que je le faisais, mais cela ne veut pas dire que j’ai été un triste solitaire et étant donné que je n’étais pas du genre élitiste, je ne me bornai pas à reluquer que les filles de ma maison. Je garde d’agréables souvenirs de ces dernières années d’école.
Diplôme en poche, j’étais enfin libre, impossible penser que je rentrerais sagement au sein de ma famille. Un petit séjour de rien du tout suffit avant de prendre le large sans espoir de retour. Le monde est vaste et n’attend qu’á être découvert. Que ma chère Marraine ait eu le bon cœur de faire de moi son héritier universel arrangea bien de choses pour moi. Je suis riche, libre comme le vent et sans aucun besoin d’attaches.
Je vis comme un Moldu, en Afrique, ai trouvé un sens à mon existence de nomade et tire une énorme satisfaction en aidant les démunis de ce monde. On me dit idiot idéaliste. Tant pis. J’aime croire que ce n’est qu’un petit effort pour équilibrer la balance.
Caractère:
Indépendant farouche, Max est le prototype de l’idéaliste obstiné. Acharné dans la poursuite de ce qu’il pense juste, Von Falkenberg n’hésitera pas à se montrer arrogant et insupportable, à se battre même, au besoin. Il répugne de l’usage de la magie et ne l’utilise qu’en cas de force majeure, surtout quand il s’agit de sauver la vie de son prochain. On le tient pour solitaire et il l’est certainement, s’accommodant très bien de cet état. Il est peu enclin à faire des amis, mais ceux qui ont le privilège de se compter parmi le nombre réduit, savent pouvoir compter avec sa loyauté indéfectible. Par contre, les femmes de sa vie ne peuvent pas dire avoir tant de chance. Max déteste la simple idée d’un engagement durable et comme les marins de long cours, a un amour à chaque port et ne s’en plaint pas le moins du monde.
Désignation de votre avatar : Paul Walker
Date et lieu de naissance: 27 Aout 1964 Munich, Allemagne
Sorcier? Ouais
Histoire de votre perso:
J’ai toujours pensé que mon histoire était d’une banalité navrante. Il parait que pas trop, finalement. Suis le cadet. Trois sœurs m’ayant précédé, le résultat était prévisible. Si elles étaient ravies d’avoir un mioche pour jouer à la maman, moi j’étais déjà dégoûté d’avance. Maman y mettant aussi du sien, j’ai été le gosse le plus câliné, chouchouté et surprotégé dont on ait mémoire. Terrible. Mon père, prince érudit, laissait les femmes de la maison s’occuper de moi, avec un sourire compatissant, mais au fond ravi de ne pas avoir à se mêler à l’éducation d’un enfant qu’il ne s’était plus attendu à avoir.
Personne ne s’est dérangé de me demander ce que je pensais de tout ça. Ils auraient été assez ahuris de savoir que depuis mon plus jeune âge je n’avais qu’une idée en tête : filer ! Je me suis arrangé pour arriver à mes fins à plusieurs reprises, avec la malchance d’être pincé à tous les coups.
Suivant l’ordre établi, je fus envoyé à l’école. Pas n’importe laquelle : Poudlard. Ma famille supposait que fréquenter d’autres petits sorciers remettrait les choses en ordre et que j’accepterais gentiment d’être ce que j’étais. On m’envoya tout de go chez les Serpentards que je méprisai dès le premier jour. Je ne voulais qu’être un moldu, avais des idées démocratiques poussées et bien sûr, ce n’était pas pour plaire.
Faute de pouvoir faire mieux, je vécus ma scolarité avec l’entrain d’un forçat condamné au bagne, rêvant d’évasion. Ce que je fis à plusieurs reprises dans l’espoir de dégoûter tout le monde et me faire renvoyer. On se contenta de me punir, me coller des retenues et des sermons.
L’idée finit par prendre et puisque je ne pouvais pas l’éviter, je consacrai part de mon énergie aux études et à partir de ma 5ème année, aux filles. Je n’ai jamais eu d’amis entre mes camarades. Ils me méprisaient autant que je le faisais, mais cela ne veut pas dire que j’ai été un triste solitaire et étant donné que je n’étais pas du genre élitiste, je ne me bornai pas à reluquer que les filles de ma maison. Je garde d’agréables souvenirs de ces dernières années d’école.
Diplôme en poche, j’étais enfin libre, impossible penser que je rentrerais sagement au sein de ma famille. Un petit séjour de rien du tout suffit avant de prendre le large sans espoir de retour. Le monde est vaste et n’attend qu’á être découvert. Que ma chère Marraine ait eu le bon cœur de faire de moi son héritier universel arrangea bien de choses pour moi. Je suis riche, libre comme le vent et sans aucun besoin d’attaches.
Je vis comme un Moldu, en Afrique, ai trouvé un sens à mon existence de nomade et tire une énorme satisfaction en aidant les démunis de ce monde. On me dit idiot idéaliste. Tant pis. J’aime croire que ce n’est qu’un petit effort pour équilibrer la balance.
Caractère:
Indépendant farouche, Max est le prototype de l’idéaliste obstiné. Acharné dans la poursuite de ce qu’il pense juste, Von Falkenberg n’hésitera pas à se montrer arrogant et insupportable, à se battre même, au besoin. Il répugne de l’usage de la magie et ne l’utilise qu’en cas de force majeure, surtout quand il s’agit de sauver la vie de son prochain. On le tient pour solitaire et il l’est certainement, s’accommodant très bien de cet état. Il est peu enclin à faire des amis, mais ceux qui ont le privilège de se compter parmi le nombre réduit, savent pouvoir compter avec sa loyauté indéfectible. Par contre, les femmes de sa vie ne peuvent pas dire avoir tant de chance. Max déteste la simple idée d’un engagement durable et comme les marins de long cours, a un amour à chaque port et ne s’en plaint pas le moins du monde.
Désignation de votre avatar : Paul Walker
Max Von Falkenberg- Messages : 54
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Justin Davenport- Admin
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